Il a fait plus que rester pour le week-end. Après trois finales, dont deux dans les tournois majeurs et deux défaites en séries éliminatoires, Zalatoris a remporté une série éliminatoire à mort subite contre Sepp Straka pour remporter son premier titre sur le PGA Tour et se hisser à la première place du classement par points de la FedEx Cup.
« C’est un peu difficile de dire » il était temps « quand c’est votre deuxième année sur le Tour, mais il était temps », a déclaré Zalatoris. « Compte tenu de toutes les finitions serrées que j’ai eues cette année, pour enfin réussir, cela signifie beaucoup. »
La recrue de l’année en titre du Tour, âgée de 25 ans, a réussi un tour final de 4 moins de 66 ans au TPC Southwind à Memphis, Tennessee, et est devenu le deuxième joueur à remporter son premier tournoi en séries éliminatoires, rejoignant Camilo Villegas, qui l’a fait. au Championnat BMW 2008. Classé n° 14 mondial au début de la semaine, Zalatoris a déjà connu une saison fructueuse, qui comprenait huit top-10, le plus parmi les joueurs sans victoire. Il avait menacé de remporter sa première victoire sur le Tour à plusieurs reprises, ratant de peu un putt de birdie à la dernière pour forcer les séries éliminatoires aux États-Unis. Ouvert et a subi des pertes au Farmers Insurance Open et au PGA Championship.
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Zalatoris s’est assuré qu’il avait des plans pour le week-end, rebondissant avec un 63 sans bogey, son tour le plus bas sur le Tour depuis le deuxième tour de l’American Express en janvier. Il n’a pas fallu longtemps à Zalatoris pour comprendre la raison de son départ lent.
Zalatoris a déclaré qu’il n’avait pas permis à son nouveau cadet, Joel Stock, de lire les putts le premier jour alors qu’ils apprenaient à se sentir les uns les autres. Stock a été l’acolyte de Zalatoris pour la première fois depuis que Zalatoris et son cadet de longue date, Ryan Goble, se sont séparés au milieu du championnat Wyndham de la semaine dernière.
Zalatoris a affiché un 65 samedi pour remonter à moins de deux coups de la tête. Il a réussi un birdie aux trois premiers trous de la ronde finale, dont un 15 pieds au troisième, pour prendre la tête. Zalatoris a fait un bogey au No. 7 mais a repris la tête avec un birdie à 10. Straka, 29 ans, qui a cassé une séquence de six coupes manquées et n’avait pas joué le week-end depuis le Memorial début juin, a fait un birdie au 12 pour égaliser Zalatoris pour la tête à 14 sous.
Zalatoris, un produit de Wake Forest, et Straka, un diplômé de Géorgie, ont converti de courts putts de birdie au 16e par-5 pour grimper à 15 sous. Zalatoris a lancé un entraînement de 310 verges à 18 dans le bunker du fairway droit, a échoué avec son approche, a lancé à 10 pieds et a mis le putt en conserve. Après avoir été critiqué pour son coup de putting peu orthodoxe, Zalatoris a célébré son putt d’embrayage en se référant à une ligne de Steph Curry, s’exclamant: « Qu’est-ce qu’ils vont dire maintenant? »
« En fait, je n’arrive pas à croire que j’ai dit ça », a déclaré Zalatoris, notant qu’il était un grand fan des Golden State Warriors et quand Curry a dit que « cela était en quelque sorte lié à mon parcours jusqu’à présent… Au moins, ce n’était pas quelque chose de pire, Mais ouais. »
Straka a raté un putt de birdie de 22 pieds pour gagner en temps réglementaire alors qu’ils étaient à égalité à 15 sous 265.
Ce fut une éliminatoire folle avec Straka devant faire un putt de 6 pieds à 18 après son putt de 24 pieds pour la victoire couru par au premier trou supplémentaire. De retour à 18, les deux joueurs ont surmonté de mauvais coups de départ pour sauver le par. Et puis c’est devenu vraiment loufoque au 11e trou par-3. Zalatoris a eu les honneurs et son coup de départ a rebondi plusieurs fois sur le mur de soutènement, évitant l’eau et s’installant entre le mur et le rugueux.
Avantage Straka, sauf que son coup de thé a rebondi dans l’étang face au green. Suite à un drop, son troisième vole le green et atterrit dans un bunker. Après de longues délibérations, Zalatoris a choisi de prendre une goutte, aussi, plutôt que de risquer de heurter le mur de soutènement rocheux.
« Je n’ai pas pu mettre le club sur le ballon », a déclaré Zalatoris. « Compte tenu de l’endroit où se trouvait Sepp et qu’il avait quatre pieds pour 5, il n’y a aucune raison pour moi d’essayer ce coup et de le faire basculer directement dans l’herbe et de retourner dans l’eau et tout d’un coup j’ai perdu le tournoi de golf. »
Le troisième tir de Zalatoris à 94 mètres s’est arrêté à 7 pieds du trou et il a levé les bras vers le ciel lorsque son putt est tombé.
Avec la victoire, Zalatoris a également quadruplé les points et a renversé Scottie Scheffler, qui a raté la coupe vendredi et détenait la tête depuis mars. Mais Scheffler est resté numéro un mondial. 1 alors que Cameron Smith a été amarré deux coups avant le début du tour final pour une pénalité qu’il a commise au quatrième trou lors du troisième tour. Au lieu de traîner de deux avant le dernier tour, le déficit de Smith est passé à quatre. Il a tiré une normale égale de 70 et a terminé T-13, six coups en arrière.
Au lieu de traîner de deux avant le dernier tour, le déficit de Smith est passé à quatre. Il a tiré une normale égale de 70 et a terminé T-13, six coups en arrière.
Lucas Glover, qui a commencé la semaine au 121e rang des éliminatoires de la FedEx Cup, a réussi des birdies à 16 et 17 ans pour égaliser la tête à 13 sous, mais a raté le dernier trou pour tirer 66 et égaliser pour le troisième.
Il s’est classé n ° 34 au classement des points et figurait parmi les 70 premiers à se qualifier pour la deuxième épreuve éliminatoire du championnat BMW de la semaine prochaine.
Mais cette semaine appartenait à Zalatoris, qui a gagné pour la première fois à son 56e départ après de nombreux appels serrés. « La première seconde au Masters a changé ma vie car cela m’a mis en position de jouer ici autant que je le voulais et m’a mis en quelque sorte sur la carte », a déclaré Zalatoris. « Le deuxième à la PGA était une sorte d’affirmation que ce n’était pas un coup de chance d’une semaine, et le troisième à l’US Open m’a donné encore plus de conviction que je peux gagner un majeur, je peux gagner ici.
Ce n’était qu’une question de temps et évidemment c’était ma semaine. Zalatoris prévoyait de célébrer, mais il n’a pas tardé à souligner qu’il leur restait encore du travail à faire.
« Je pense que j’ai toujours eu l’attitude que le travail n’était pas terminé et aussi formidable que ce soit de réussir, j’ai toujours l’impression d’avoir des affaires inachevées à l’avenir », a-t-il déclaré. »C’est évidemment très satisfaisant, mais c’est évidemment la haute saison pour nous pour les joueurs du PGA Tour et la mouture continue. »
